« Lorsque les choses tournent rond, que je ressens dans mes veines le sang qui circule avec énergie. Lorsque je réussis à tordre la peinture et à lui donner l’expression de sa divinité, par la recherche et le tâtonnement – parfois mille fois recommencés… lorsque les mots coulent, que les écrits sont limpides, un entourage en ordre d’harmonie… lorsque tout ça arrive, je me sens dans ce que Michel-Ange appelait « la sphèra superiora ». D’où l’utilité de se sentir entouré d’âmes et d’esprits sensibles, en sachant nous protéger du milieu hostile qui nous environne trop, beaucoup trop ». 19/04/2010